Hommage à mon mari, mon ami, mon loulou
Ses funérailles sont a son image : simple et sans chichis, accompagnées de la musique qu’il aimait.
Ce 17 novembre, parti le même jour que l’auteur de Non, je ne regrette rien ( Charles Dumont = 95 ans = ) Sans manquer de respect, je dirais, quelle « chance ». Jean-Marie à presque, 71 ans, à deux jours prêt, nous a jouer un vilain tour.
Trop jeune pour certains, pour moi, c’est surtout trop tôt. Quel pschitt tu m’a fait là ! Nous ne partagerons pas le champagne cette année ...et si ce n’était que ça.
Plus rien, jamais plus. Ça n’est même pas envisageable un tel vide ! Tu étais mon mari, tu étais mon ami. Un vrai, le seul. Toi et moi cultivions un bonheur simple et l’on pourrait dire trop, ′′puisqu’entre nousʺ. Mais il nous suffisait.
Tous le monde aimait Jean-Marie Les soucis de la vie n’ont jamais entamé sa joie de vivre avec un humour bien a lui. D’un tempérament doux, calme et sensible, c’était un homme discret, simple et serviable. Tu manqueras à tous, c’est certain.
Tous tes amis me l’on dit et je sais que c’étais le cas de tous le monde - parfois même a en être "lourd". Tu parlais toujours de moi: Marlène ceci, Marlène cela. Je te l’ai bien souvent reproché pensant être un faire-valoir. Bien sûr, vous savez que c’était de l’amour véritable et sincère qu’il me portait. Moi aussi, parce que c’était ce qu’on appelle un gentil. Un vrai, je le sais.
Cet hiver va être si long, si froid sans lui, sans toi LOULOU. Mais non, moi non plus, je ne regrette rien. Le reste m’est bien égal. |